Si nous sommes immobiles par rapport à nous-mêmes, alors le déplacement n’est vrai qu’en impression si bien que la constante « c » ne soit pas une vitesse, en vérité, mais un facteur de proportion uniquement. Par lequel une période d’onde électromagnétique serait en proportion « c » pour former une unité de longueur élémentaire. Nous ne serions alors que des « acteurs-spectateurs » de notre propre existence écrivant, par nos choix, la réalité que nous lirions ensuite en langage ondulatoire à partir duquel notre faculté de ressentir nous intimerait l’ordre de croire au vrai. Dans ce contexte, la lumière pourrait-elle encore être considérée comme un voyageur lointain nous apportant, à point nommé, l’histoire effective de notre propre genèse ? Ou deviendrait-elle une suite de messages instantanés nous contant, à mesure que nos capacités d’observation le permettraient, le récit d’une succession d’événements qui devrait nous avoir précédés en toute logique ? Dans le premier