De la Cause de la Gravitation

Le vide étant impossible par raisonnement récursif, alors faire le vide revient nécessairement toujours à retirer ici pour emplir ailleurs.

Qu’obtiendrait-on alors si l’action du vide était concentrée en un point donné, à l’image d’un vortex, sinon quelque chose de plus dense que des éléments premièrement épars ? 

Dès lors, tant s’en faut pour dire que la gravitation soit une propriété géométrique de l’espace produisant l’effet d’une chute permanente ; que pour dire qu’il s’agisse de la manifestation d’un processus perpétuel consistant à faire le vide d’un vide impossible.

Comme à vouloir vider une source intarissable en son centre avec des objets à la surface qui adopteraient ainsi des trajectoires circulaires sans fin ; pourvu que l’eau qui se vide soit toujours suffisamment compensée.

A remplacer l'eau qui se vide par le vide infini, et le vortex au centre par un moment intrinsèque, qu'obtiendrait-on alors sinon une courbure de l'espace produisant l'effet d'une chute sans fin ? Ce qui ferait ainsi du spin la pièce infinitésimale du moteur de la gravitation.

Puisqu’ il semble qu'il s'agisse, en effet, du meilleur candidat à l'origine d'une courbure de l'espace qui produirait un effet d'apesanteur, c’est-à-dire de chute permanente résultant d'un mouvement vers le bas compensé tangentiellement.

Car à écrire h=h/2Pi (où h est la constante de Planck), le vecteur d'état d'une particule apparaît comme un rayon implicite. Dès lors, à sommer h, comme possiblement lors de l’effondrement d’une étoile sur elle-même, qu'obtiendrait-on sinon un parcours angulaire de plus grand rayon unitaire ?

Or, la vitesse d'angle, ou tangentielle, est une fonction croissante du rayon à vitesse angulaire donnée expliquant ainsi que la gravitation ait un effet négligeable à l'échelle quantique pour être cumulative par somme vectorielle en multiple de h.

Étant entendu qu'établir que la gravitation dépend de la densité de matière relève d'une relation de corrélation, et non de causalité; si la gravitation précède nécessairement la matière dense d’un point de vue causal.

Et que le vide demeure jamais que l’espace du même qui n’existe plus ici pour être devenu autre chose ailleurs à l’origine d’un changement-déplacement ; si bien que l’altérité ne soit possible qu’en référence à ce qui demeure identique ; sans quoi l’altérité ne serait que pure destruction, sans mémoire subsistante, menant à l'oubli. 

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